Vous êtes seul(e) et un peu triste le jour de la Saint-Valentin

Les 4 bons côtés d’être célibataire le jour de la Saint Valentin

En effet, chaque 14 février, nous avons droit au côté trop commercial de cette fête : déluge de cadeaux parfois assez coûteux, de petits cœurs et de déclarations toutes plus sucrées les unes que les autres : bienvenue dans le monde merveilleux de la Saint-Valentin !

Mais que fait la Saint-Valentin ? Elle rappelle aux uns de tenir bon dans leur couple et aux autres de s’y mettre ! Elle nous dit “Soyez en couple !”, c’est le seul moyen d’être heureux. La plupart aimerait bien, mais voilà, ça ne se passe pas toujours comme voulu.

Célibataire le jour de la Saint Valentin (les parents positifs)

« Je ne suis pas en couple, parce que j’ai été quitté(e) »

Parmi ceux qui aimeraient bien être en couple mais ne le sont pas, se trouvent tous ces hommes et toutes ces femmes à qui la Saint-Valentin rappelle qu’ils ont été aimés. Pour eux, le 14 février remue le couteau dans la plaie. J’ai plusieurs amis qui ont eu le blues toute la journée alors qu’ils voyaient les autres, en couple, courir chez le fleuriste ou chez le bijoutier.

Pourtant, parfois il vaut mieux être seul(e) que mal accompagné(e).

« Merci de me rappeler que je suis tout(e) seul(e). C’est vraiment pas sympa. »

À ceux-là, je dirais qu’il ne faut pas être nostalgique et regarder vers l’avenir. À l’époque où vous étiez en couple, la Saint-Valentin était-elle à chaque fois une vraie fête, une vraie communion amoureuse ? Si ce n’était pas le cas, ne vaut-il pas mieux laisser filer un amoureux(se) qui nous rendait malheureux(se) ? Quitte à ne pas célébrer le 14 février qui suivra…

« Je ne suis pas en couple, parce que je n’ai pas rencontré l’amour »

À ceux-là, on dit régulièrement “C’est parce que tu ne cherche pas ! Bouge-toi, le temps passe si vite ! Inscris-toi sur des sites de rencontre Internet ! Quand on veut, on peut !”.

Et si vous n’aviez pas la motivation ? Et si vous n’étiez pas prêt à vous mettre en couple ? Vous avez le droit. Vous n’êtes pas obligé(e) de répondre à cette obligation “sociale”, sous prétexte qu’aujourd’hui tout le monde se rencontrerait sur Internet.

Oui, il y a beaucoup de rencontres sur Internet et beaucoup de déceptions, aussi : des gens qui ne vous correspondent pas forcément, des menteurs et des “embellisseurs” de curriculum vitae. Les rencontres sur Internet sont, avant tout, un vrai business et une affaire de marketing. Si certains y trouvent leur bonheur : c’est bien mais rien ne vous oblige à vous y mettre.

« Je ne suis pas en couple, parce que je n’ai pas envie »

On vous dit égocentrique, “adulescent”, “pas encore responsable”. Et si tout ça était faux ? Et si la vie de couple ne vous faisait pas ou plus envie ? Et si vous aviez peur d’être envahi(e), de ne pas ou plus savoir aimer ?

Ça n’est pas que vous êtes contre, dans l’absolu. Mais vous constatez que personne ne vous attire vraiment pour l’instant. D’expérience, vous n’avez pas ou plus envie de vous engager dans un amour durable. Et on vous fait comprendre : “Ce n’est pas la norme ! Tu es anormal(e) !” Pourtant, vous n’allez pas vous engager avec quelqu’un qui vous déplait ou ne vous plait pas suffisamment, vous ennuie ou vous gâche la vie sous prétexte qu’il faudrait vous “caser” !

En revanche, si vous avez peur, posez-vous la question “De quoi ai-je peur ?” Là, ça vaut le coup de la dépasser pour ne pas passer à côté de la personne qui vous rendre plus heureux(se) que vous ne l’êtes aujourd’hui. Pas l’être idéal, mais un bon compagnon, une bonne compagne pour faire la route ensemble en prenant soin l’un de l’autre. Ça, oui, c’est possible. Prenez le temps nécessaire pour y penser.

Et vous, comment avez-vous passé cette journée de la Saint-Valentin ?

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