Si vous n’aviez plus jamais à travailler pour de l’argent, que feriez-vous?
Ce mois-ci, Les Parents Positifs organisent l’édition d’avril d’un évènement qui regroupe plusieurs blogueurs autour d’un thème commun, que l’on appelle aussi Carnaval de blogs. Plusieurs blogueurs ont écrit sur le thème “Si vous n’aviez plus jamais à travailler pour de l’argent, que feriez-vous?” et nous vous présenterons un article résumé avec les liens vers ces derniers dès la semaine prochaine. C’est donc à suivre si le sujet vous intéresse !!!
Cette question sur les conséquence d’être libre financièrement : nous nous la sommes tous posée au moins une fois dans notre vie. Parfois en achetant un ticket à gratter, en faisant sa grille de loto hebdomadaire ou en créant sa boîte.
Nous ne vous cacherons pas qu’à différents moments de notre vie professionnelle, nous avons pu faire des breaks nous permettant de voyager, de pratiquer certaines de nos passions et même de pouvoir prendre un long congé paternité.
Voici donc une liste des choses que nous aimerions faire le plus si nous n’avions plus à travailler pour gagner notre vie :
Voyager là où ne nous sommes pas encore allés !
Nous adorons voyager tout comme les 74 % de français qui ont voyagé en 2015. Sans même envisager une totale liberté financière : nous voyageons le plus possible en fonction des vacances scolaires, longs week-ends…
D’ailleurs notre prochain voyage est à destination de Rome cette fin de semaine. En effet, nous allons passer une semaine dans la ville éternelle que nous découvrirons pour la première fois en compagnie de nos enfants.
Le fait de voyager régulièrement augmente notre courbe de connaissance et nous permet de gagner du temps et de l’argent sur tout le processus de réservation pour obtenir les meilleurs prix sur les billets (achetés au moyen de plusieurs comparateurs de prix) et sur les logements loués avec Airbnb. Souvent pour le prix d’une chambre d’hôtel, nous avons pu louer des appartements ou des maisons beaucoup plus grands.
Nous planifions également d’aller pendant une partie de l’été 2017 en Nouvelle-Zélande et en Australie pour la première fois.
Si nous étions vraiment libres financièrement, nous aimerions également visiter l’Amérique du sud et une partie de l’Asie telle que la Chine et le Japon.
Voyager là où nous sommes déjà allés !
L’été prochain nous ferons un pèlerinage à Saint Jacques de Compostelle (où j’avais rencontré le pape Jean-Paul 2 en 1990) puis un tour d’Espagne et du Portugal en voiture.
Nous affectionnons ces 2 pays d’où sont partis les explorateurs du Nouveau Monde : c’est toujours émouvant de se retrouver à Cap Saint Vincent (le point le plus au sud-ouest de l’Europe) dans l’Algarve et d’imaginer les premiers explorateurs partant du Portugal pour explorer des lieux inconnus des Européens d’alors.
Nous pourrions également refaire un périple de 22 000 kms similaire à celui que nous avons suivi l’été dernier à travers les Etats-Unis et le Canada (voir l’article : “Comment arriver à partager une passion avec les siens (sans « saouler » tout le monde) ?”).
Nos enfants aimeraient également aller en Inde sur les traces des différents voyages que nous avons pu y faire et qui nous ont menés de Mumbai à Pondichéry en passant par Bangalore, Chennai et Mahäbalipuram. Nous pourrions ensemble dormir dans une immense demeure coloniale à Goa, nous baigner dans l’océan indien et faire une méditation au pied d’Amma suivie d’un “hug” qui ouvrirait encore plus le chakra du coeur (Anahata) ?
Il y a, bien sûr, tellement de choses à voir là-bas. Nous aimerions, par dessus tout, nous initier à l’Ayurveda et au Yoga dans ce pays où ces disciplines ont vu le jour.
Mes enfants aimeraient également visiter le plus grand pays du monde et les villes de Moscou et de Saint-Pétersbourg où leur papa a vécu quelques mois pendant ses études alors qu’il accomplissait une mission commerciale pour une entreprise française avec 2 camarades de son école. Ils rêvent de prendre le train de nuit, la flèche rouge, entre ces 2 magnifiques villes russes.
Lire TOUS les livres majeurs en anglais sur les neurosciences et l’éducation des enfants
Il y a énormément de littérature qui vient des pays anglophones et dont s’inspirent certains des “maîtres à penser” français en matière d’éducation (même Isabelle Filliozat fait régulièrement traduire des livres de l’anglais apparemment).
En plus des livres très connus d’Isabelle Filliozat et de Catherine Gueguen, nos 2 prochains livres à lire sont ceux écrits par Stanislas Dehaene :
- Les Neurones de la lecture
- Apprendre à lire: Des sciences cognitives à la salle de classe
Ecrire et publier des livres sur des sujets pratiques
Nous adorons lire toutes sortes de livres. Maman positive est très “branchée” roman d’aventures (le dernier livre qu’elle vient de finir s’intitule “Le pays du nuage blanc” de Sarah Lark) et Papa positif est plutôt orienté livres pratiques (l’un des derniers livres lus est le PMBok qui porte sur les méthodologies de gestion de projet).
La raison de ce blog est d’écrire sur un sujet qui nous passionne depuis la naissance de notre premier enfant : la parentalité positive afin de vulgariser celle-ci et de sortir de la parentalité classique (claques, fessées et plus si affinités) que nous avons connue nous-mêmes lorsque nous étions enfants. C’est quand même plus enthousiasmant pour toute notre tribu d’être une famille soudée et rayonnante plutôt que de mettre des coups de martinet dès qu’un p’tit loup donne son avis.
D’ailleurs, notre rêve est de mettre en place une formation (en e-learning, avec des supports de formation écrits et des exercices pratiques) que n’importe quel parent pourrait suivre à son rythme et à distance afin d’être plus à l’aise (voir l’article : “Les 3 challenges des parents positifs” à ce sujet) dans son rôle.
Pratiquer à fond nos passions
Nous avons une bonne dizaine de passions que nous pourrions continuer à apprendre et à pratiquer à fond dont :
LE QI-GONG (DEPUIS 1 AN)
LA PARENTALITÉ POSITIVE (DEPUIS 11 ANS déjà)
LE JU-JITSU (DEPUIS 13 ANS)
LE DÉVELOPPEMENT PERSONNEL (DEPUIS 28 ANS)
Comme pouvez le constater, si nous n’avions plus à travailler pour gagner notre vie, nous serions bien occupés quand même : tout d’abord par nos différentes passions (voyages, développement personnel, sport…) mais par dessus tout par… la PARENTALITE POSITIVE !